" L'écrivain au terme de l'oeuvre, c'est un peu l'homme après l'amour : même vague écœurement, même agréable lassitude, même dégoût de ce à quoi il s'est follement donné, même sentiment de vacance, de vide, d'inutilité. Une fête vient de s'achever et le quotidien reflue à nouveau, ineffablement morne et prosaïque "
Charles Juliet : journal 1 ( 1957 - 1964 )